Dans Plus belle la vie, encore plus belle, Samuel et Patrick pensent que le meurtrier est un acteur de la justice et craignent qu’ils travaillent même dans leur commissariat, Boher pète les plombs face à Anaïs Delpierre pendant la conciliation et Lucie fugue…
Dans l’épisode de Plus belle la vie, encore plus belle du jeudi 13 juin 2024 – disponible en streaming – Samuel et Patrick briefent leurs équipes afin que tout le commissariat soit à la recherche du meurtrier du bijoutier-joaillier qui a conçu le pendentif retrouvé dans le coffre d’Abdel. Le mode opératoire de l’assassin est toujours le même : il fait parvenir le pendentif à une personne victime de harcèlement puis tue le harceleur dix jours plus tard, en maquillant son méfait en suicide. Si trois meurtres ont déjà été commis, quatre poinçons ornent le pendentif, ce qui indique, selon les policiers, qu’une quatrième victime de harcèlement s’apprête à recevoir le pendentif – et un quatrième harceleur à trouver la mort. Samuel et Patrick décident alors de lancer des appels à témoins pour retrouver le harcelé qui aura reçu le pendentif. Ils espèrent ensuite rejoindre le harceleur avant que le meurtrier ne décèle leur subterfuge et choisisse de mettre son plan à exécution plus vite que prévu. Plus tard, Samuel et Patrick font un lien entre les trois dossiers qu’ils n’avaient jusque-là pas remarqué. Les trois victimes de harcèlement qui ont reçu le pendentif avaient consulté un avocat pour leur plainte. Avocats, juges, greffiers, flics… les acteurs de la justice sont désormais tous suspectés par les deux enquêteurs.
Plus belle la vie en avance : Boher s’emporte contre Anaïs Delpierre, Lucie fugue
Dans le bureau voisin, Boher reçoit Anaïs Delpierre et l’avocate qui représente Lucie. La jeune femme ne perd pas pied devant les deux adultes et demande à Boher une indemnisation pour le traumatisme infligé à son frère Michaël. Tandis que le père de Lucie, qui va passer en conseil de discipline, estime que c’est sa fille qui est harcelée par Michaël, Anaïs accuse Boher d’inverser les rôles. Ce dernier s’emporte et montre les photos des bleus de Lucie. La jeune femme avance alors que Boher est peut-être à l’origine de ces ecchymoses, les harceleurs étant souvent des enfants battus. Boher insulte Anaïs et celle-ci quitte le commissariat tandis que l’avocate demande à son client de se calmer. La conciliation n’a de toute évidence pas fonctionné.
Convoqué dans le bureau de la commissaire Liao, le commandant Boher est prié de prendre quelques jours de congés. De retour chez lui, il réfléchit à la situation avec Léa. La conciliation étant impossible avec le père d’Anaïs et Michaël, Léa propose d’envisager un dédommagement financier pour ne pas que les choses s’enveniment. Frustré d’avoir réagi violemment aux attaques d’Anaïs au commissariat, Boher se morfond de savoir que Lucie va être traitée comme une coupable. Malheureusement, la jeune adolescente assiste à la scène seulement pour sa conclusion, lorsque son père prononce la phrase : “Lucie nous a foutus dans la merde“. Après une sieste de quelques heures, Jean-Paul remarque que sa fille a disparu. La scène finale la montre perdue et apeurée sur le bord d’une route.
Plus belle la vie en avance : Éric veut proposer des cours de self-défense aux femmes du Pavillon des Fleurs
En sortant d’une boutique, Jennifer se fait contrôler par Éric, le vigile, puis accoster par un jeune homme trop insistant qui la drague et va jusqu’à lui toucher les cheveux. Jennifer déraille alors immédiatement, ordonnant à son harceleur de rue de ne pas la toucher et de ne pas l’appeler “Princesse” alors qu’ils ne se connaissent pas. Le jeune homme change de ton et Éric intervient. Alors que le malotru finit par partir, Jennifer s’en prend à Éric. Agacée qu’un autre homme ait dû prendre sa défense pour que son harceleur la laisse tranquille, elle s’emporte contre le patriarcat.
Attablé au Mistral aux côtés de Luna, Éric demande à son amie si elle est régulièrement accostée de manière aussi désagréable. Luna lui explique alors la réaction de Jennifer ; le fait qu’il est usant d’avoir “besoin” d’être accompagnée d’un homme pour être tranquille. Tandis qu’Éric rage et exprime son envie de redevenir policier rien que pour remettre en place ce genre d’individus, leur conversation donne une idée à Luna : la création d’une brigade spécialisée dans la protection des femmes dans l’espace public – ou la brigade anti-gros con, comme la surnomme le vigile. Si Luna s’en amuse, son ami planche réellement sur le sujet.
Au Pavillon des Fleurs, Éric présente son projet à Blanche : donner des cours de self-défense aux femmes qui fréquente l’association. Il explique que la pratique est un moyen, non pas de répondre à la violence par la violence, mais d’échapper à la violence en gagnant en sérénité et en confiance. Blanche promet d’y revenir plus tard car le planning actuel est complet.
Plus belle la vie en avance : bluffé par le culot d’Apolline, Ulysse Kepler la réengage
Au cabinet Kepler, Ulysse donne à Julie, son ex, son contrat de mariage dans lequel il a pris soin d’indiquer jusqu’au montant de la pension en cas de divorce – autrement dit, un dossier bien cadré et très protecteur. Julie confie à Ulysse qu’elle a peur qu’Anthony, son futur époux, apprenne qu’il a travaillé à ce contrat. S’il lui assure qu’il n’en sera rien, elle ajoute qu’Apolline, qui trouve qu’elle joue avec ses sentiments, l’a menacée de tout révéler à Anthony. Alors que Maître Kepler dit à son amie qu’Apolline ne travaille même plus pour lui, celle-ci lui conseille de faire machine arrière vu les qualités et la dévotion de sa stagiaire.
Ulysse se rend jusqu’au Mistral pour demander des comptes à Apolline. Il lui expose ses quatre vérités : sans gêne, arrogante, mégalo, impulsive, de mauvaise foi, trop insolente. La conversation prend cependant une toute autre tournure lorsque Maître Kepler dit qu’il ne voit pas ces traits de caractère comme des défauts dans leur métier. Il lui propose enfin de travailler de nouveau au cabinet et Apolline le prévient : hors de question de revenir pour faire des photocopies. Acceptant de ne plus jamais fouiller dans le téléphone portable de son patron, la stagiaire est réengagée.