Actrice vue dans de nombreuses séries et téléfilms, Mélanie Maudran, se souviendra toujours du tournage de ce fameux feuilleton, dont les conditions étaient vraiment compliquées.
Mélanie Maudran (Sous le soleil, Joséphine, ange gardien, Section de recherches) et François-David Cardonnel (ancien candidat de Koh-Lanta) s’en souviendront ! Pour les deux acteurs, le tournage du téléfilm Meurtres à Mulhouse a été compliqué. Très compliqué. En cause : les conditions météorologiques. “Nous étions tous habillés assez légèrement car, quand on a fait les essayages des costumes en septembre 2020, trois semaines avant le tournage, on ne pensait pas que la température baisserait ainsi”, avait confié Mélanie Maudran dans une interview accordée à Télé-Loisirs.
Et d’ajouter : “Nous nous sommes retrouvés en haut des montagnes et dans le Nord-est et les températures ont chuté d’un coup, au moment où on tournait les scènes en extérieur. Nous étions frigorifiés, avec le froid, le vent, la neige.” Des conditions loin d’être optimales pour tourner.
Mélanie Maudran : “On s’entendait mais on ne se voyait pas”
“Parfois en haut de la montagne, il y avait tellement de brouillard qu’on ne voyait pas à trois mètres. Je ne voyais pas les caméras et on jouait au son de nos voix. On s’entendait mais on ne se voyait pas“, avait confié Mélanie Maudran habituée au climat méditerranéen depuis ses apparitions dans la série Un si grand soleil, tournée à Montpellier : “Ces derniers temps, j’avais surtout dû m’adapter à tourner sous la chaleur, ce qui n’est pas évident non plus avec les vêtements qui collent, le maquillage qui coule.”
Dans le froid, d’autres problèmes se sont posés : Mélanie Maudran et François-David Cardonnel avaient “du mal à articuler et à se réchauffer”. “Mais cela rend les choses plus réalistes, ça servait le téléfilm. Ce côté brumeux, avec les scènes dans les mines, ajoute à l’ambiance”, a-t-elle assuré. Et pour ajouter à la difficulté des conditions de tournage, une partie de l’action se passent dans les mines : “Nous avons passé du temps avec les mineurs dans les mines, qui n’était pas une zone de confort pour moi car nous étions enfermé sous terre plusieurs jours d’affilée.” Ça fait pas rêver…