L’étau se resserre pour Marie-Alix Jeanson, qui a la tête dans les cartons depuis plusieurs jours. À dix jours du départ de la première caisse maritime, lmère de famille craque et se confie sur ses réseaux sociaux.
Marie-Alix Jeanson, ancienne participante du docu-réalité Familles nombreuses : la vie en XXL, a repoussé pendant des semaines l’échéance de son déménagement. Alors que le retour de la tribu en métropole approche, elle a bien du mal à se lancer dans le tri et l’empaquetage des affaires. Le 27 mai, elle a fait part de sa démotivation face aux préparatifs et a avoué procrastiner. Avec la date de départ de leur caisse maritime fixée au 10 juin, Marie-Alix a finalement commencé à s’atteler à la tâche ce vendredi, mais s’est vite sentie submergée par l’ampleur du travail. Armée de nombreux cartons, elle s’est lancée dans le tri des affaires de sa famille. Cependant, face à la montagne de vêtements et d’objets, elle a rapidement perdu espoir.
Marie-Alix Jeanson submergée par les préparatifs de déménagement
Marie-Alix Jeanson a partagé sur Instagram sa frustration et son désarroi devant la quantité de tâches à accomplir. Elle a réalisé que, bien qu’ils n’aient qu’une partie de leurs affaires, le processus n’était pas aussi simple qu’elle l’avait espéré. “Les bras m’en tombent quand je vois ce qui nous attend. On s’était dit que ce serait rapide, mais en fait, non. Ceux qui savent, savent”, a-t-elle confié au bord des larmes ce 31 mai. “Je sais que c’est dur à comprendre pour des gens qui rêveraient de déménager. On a eu de la chance d’être là pendant deux ans, cette région est incroyable, mais il faut réaliser et comprendre que c’est énormément de boulot ! On ne s’habitue pas…”
Les Jeanson n’ont toujours pas trouvé de maison en région parisienne
L’ex-participante à Familles nombreuses s’affiche très inquiète en story Instagram. Hormis les cartons et la paperasse, qui représentent beaucoup d’organisation, elle précise qu’ils n’ont toujours pas trouvé de logement. “On fait nos cartons sans savoir où et quand on va les retrouver”, indique-t-elle. “La deuxième chose qui est compliquée, c’est qu’on va envoyer toutes nos affaires et camper ici un certain temps avec les enfants qui sont à l’école. Ensuite, on va partir en plusieurs vagues. En région parisienne, on va devoir s’installer sans nos affaires d’ici qui n’arriveront que début octobre, si tout va bien. C’est toute cette gymnastique mentale qui est compliquée.”
Article écrit avec la collaboration de 6Medias