Ce vendredi 1er septembre, Rofrane Bambara (Familles nombreuses : la vie en XXL) est sortie de sa zone de confort en prenant la parole sur un sujet qui la met hors d’elle sur Instagram.
Après plusieurs participations à Familles nombreuses : la vie en XXL, Rofrane et Nasser Bambara ont finalement décidé de refermer les portes de leur quotidien. Cela dit, les internautes peuvent toujours suivre l’évolution de leurs quadruplés, qui ont bien progressé cet été, à travers leurs réseaux sociaux.
À l’approche de la rentrée, la jeune femme a révélé que ses enfants allaient connaître un changement de taille en ce qui concerne l’organisation de leurs classes. Mais cette fois-ci, c’est pour un autre sujet que l’influenceuse a pris la parole.
Un sujet qui divise
Il y a quelques jours de cela, Gabriel Attal a annoncé l’interdiction du port de l’abaya dans les établissements scolaires. Il s’agit d’un vêtement généralement porté par les femmes dans les pays arabes.
Cette nouvelle a beaucoup fait parler sur les réseaux sociaux entre les personnes indignées et ceux qui valident cette décision du gouvernement.
Bien qu’elle ne se positionne jamais à ce sujet, Rofrane Bambara a rappelé que beaucoup d’enfants ayant besoin d’une aide scolaire ne pouvaient pas en bénéficier en faisant le parallèle avec l’affaire de l’abaya.
“Je ne m’exprime jamais sur tous les sujets politiques ou polémiques parce que j’estime que ce n’est pas mon rôle je ne fais pas de politique par contre, me chauffez pas sur le sujet de l’inclusion”, a-t-elle commencé par écrire dans sa story de ce vendredi 1er septembre.
Abaya pas Abaya ?
Rofrane Bambara en a profité pour rappeler que les choix vestimentaires n’étaient pas une urgence colossale et qu’il y avait plus grave dans la vie.
“Les gars, je pense qu’on a des choses plus urgentes en France à gérer genre le harcèlement scolaire, ouvrir plus de structures pour accueillir les enfants/personnes en situation de handicap, la revalorisation des salaires des interventions auprès des personnes en situation de handicap (qui sont sous-payés et à qui on demande un travail colossal)”, s’est-elle indignée.
Avant de conclure : “Ça c’est que sur le sujet du handicap il y a bien sûr énormément d’autres priorités en France en 2023 qui sont doucement mises de côté hein”. Un coup de gueule qui a le mérite d’être clair !