Un bilan de fin de journée très mitigé pour Olivier Gayat. Le papa emblématique de Familles nombreuses : la vie en XXL doit faire face à deux mésaventures alors qu’il pensait rentrer tranquillement chez lui.
La famille Gayat fait son retour dans Familles nombreuses : la vie en XXL après deux ans et demi d’absence à l’écran, pour le plus grand bonheur des fidèles du docu-réalité diffusé sur TF1. Soukdavone et Olivier, parents de neuf enfants, s’adaptent désormais à leur nouvelle vie avec seulement trois enfants à la maison, un changement que Soukdavone a encore du mal à accepter. Malgré un revenu décent, Olivier travaille dur pour subvenir aux besoins de sa famille, comme en témoigne sa story Instagram où il se filme en train de travailler sous un soleil de plomb. Le visage marqué par l’effort, il a confié à ses abonnés que ce chantier était particulièrement éprouvant, passant l’après-midi à gratter et à repeindre une charpente dans des conditions difficiles, mais parvenant finalement à terminer les travaux.
Olivier Gayat “dépité” suite à deux incidents ménagers
Ce mercredi 22 mai, Olivier Gayat a dû faire face à une nouvelle mésaventure. Le papa peintre en bâtiment fait le triste bilan de sa fin de journée : “Je suis dépité ! Je suis arrivé à la déchetterie et les bennes étaient remplies à ras bord. Donc, je n’ai pas pu vider mon camion. Ensuite, je suis arrivé à la deuxième déchetterie, mais je ne me rappelais plus qu’elle était fermée…” Mais ce n’est pas tout. Le mari de Soukdavone s’est heurté à un autre incident. Cette fois-ci, dans sa propre maison : “J’ai branché ma machine à laver et les deux tuyaux sont morts ou les joints. Je dois aller en racheter…”
Olivier Gayat contraint de se rendre à la laverie pour les tâches de la maison
Afin de ne pas prendre du retard dans ses tâches ménagères, Olivier Gayat a décidé d’emporter son linge au pressing. “Tant pis, je vais attendre deux heures. Je vais laver tout le linge et après je ferai le sèche-linge à la maison”, annonce-t-il en story Instagram. “J’avoue que ça fait des années que je ne suis pas allé au pressing. Avant, on le faisait beaucoup, car on avait beaucoup d’enfants, beaucoup de linge. La machine ne suffisait pas”, ajoute Olivier qui est allé patienter au café du coin.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias