En regardant la télévision, Souad Romero découvre l’existence d’une application qui mettrait en danger les jeunes enfants. Hors d’elle, la mère de famille s’en prend à l’influenceuse qui en fait la promotion sur son compte TikTok.
Cela fait maintenant deux ans que les téléspectateurs ont découvert le quotidien de la tribu Romero. De retour cette année dans Familles nombreuses : la vie en XXL, Souad, Mario et leurs cinq enfants, Rachel, Kézia, Mario, Laïna et Isaac, continuent d’exposer leurs aventures, pour le plus grand bonheur de leurs fans.
La bonne humeur communicative et les astuces de “Sousou”, comme cette technique pour nettoyer un évier noir, sont devenues la marque de fabrique de la mère de famille. Mais Souad Romero a aussi un caractère bien trempé. Elle n’hésite pas à pousser un coup de gueule contre les haters, mais aussi contre les autres influenceuses dont les publicités ne font pas l’unanimité.
Une application controversée qui fait polémique
Hier, mardi 7 novembre, l’influenceuse Ophenya a créé la polémique en faisant la promotion d’une application. Aux côtés du fondateur de celle-ci, Marc, elle a invité ses 5 millions d’abonnés TikTok à s’inscrire sur l’application qui propose des sondages pour savoir “qui t’admire en secret”.
Seul problème : l’application s’adresse aux “10-21 ans”. Un énorme bad buzz pour le créateur, mais aussi pour l’influenceuse accusée de vanter les mérites d’une application de rencontre pour adolescents.
Souad Romero en colère contre l’influenceuse
En visionnant un reportage à la télévision qui traite de cette application jugée inappropriée, Souad Romero n’a pu s’empêcher de monter au créneau : “Il faut arrêter un moment donné. Ils ne pourraient pas faire des applications qui ne mettent pas nos enfants en danger ? C’est quoi ça encore ? Ophenya, as-tu des enfants ? Sais-tu le danger que cela peut engendrer ? Ils ne sont pas suffisamment en danger avec tous ces fadas.
[Pourquoi] ajouter une application qui les mettrait deux fois plus en danger avec leur localisation et toutes les informations personnelles ? Non mais, stop.”